BELAMBRA CEDE SON VILLAGE A L’ISLE-SUR-LA-SORGUE
Publié : février 3, 2021 Classé dans : Immobilier, Uncategorized | Tags: Atream, Belambra 8 CommentairesLE SPECIALISTE DES CLUBS DE VACANCES VIENT DE VENDRE UN ACTIF IMMOBILIER A UNE SCPI. UNE BONNE NOUVELLE POUR LES INVESTISSEURS PRIVES ?

Leader des clubs de vacances en France, le groupe Belambra Clubs vient de céder à Atream, société de gestion indépendante de fonds immobiliers et private equity, les espaces communs du « Domaine de Mousquety » à L’Isle-sur-la-Sorgue (84).
Avec cet achat est réalisé pour le compte de la SCPI Atream Hôtels, 1ère SCPI dédiée à l’immobilier hôtelier, le nouveau propriétaire s’engage à monter en gamme ce club de vacances niché dans un parc de 22 hectares au bord de la Sorgue, afin qu’il rejoigne l’offre « Belambra Clubs Sélection ».
Cette opération illustre les convictions d’Atream en matière d’investissement touristique. A savoir, la sélection d’emplacements de qualité, pour des villages vacances en France et en Europe, loués au travers de baux long terme à des exploitants. Frédéric Le Guen, Président de Belambra Clubs se félicite de ce premier partenariat avec Atream.
Faisons le vœu que cette vente permette à Belambra d’éviter les impayés de loyer qui pénalisent sérieusement ses bailleurs, les investisseurs privés des résidences de vacances qu’il gère.
N’hésitez pas à réagir ici.
IMMO GERE : CHERE INDEMNITE D EVICTION
Publié : octobre 25, 2015 Classé dans : Uncategorized | Tags: Appart City, Belambra, Odalys 2 CommentairesUne mauvaise surprise attend les investisseurs au terme du bail commercial : l’indemnité d’éviction à verser au gestionnaire. Explications.
La Sorbonne dans le 5° à Paris
Mauvaise surprise pour les investisseurs dans l’immobilier géré. En particulier les résidences étudiantes, comme en témoignent les nombreuses procédures en cours contre des exploitants . Au terme des neuf ans du bail commercial, ils ne sont pas autorisés à récupérer leur bien pour le gérer en direct ou via un autre gestionnaire.
DES PROCES EN COURS
Un exemple parmi d’autres. Le service propriétaires de la résidence Studéa Voltaire à Paris 11° vient d’exiger d’un investisseur, le « dédommagement » d’un peu plus de 46.700 euros. Dans un récent courrier, il se base sur :
- le chiffre d’affaires/an moyen par lot sur les 3 dernières années, soit 8.011 euros pour l’indemnité principale d’éviction
- 3 mois de bénéfice net pour l’indemnité complémentaire soit 769 euros
- Une quote part de l’indemnité globale de 13.933 euros
« Représentant quasiment le tiers du prix d’achat de mon studio étudiant, cette demande est délirante » me confie cet investisseur. Qui vante « la belle vie immobilière» ?
Toujours pour cette résidence Studéa Voltaire, la Cour d’Appel de Paris vient de fixer une indemnité d’éviction à 12.300 euros. Entre temps, l’investisseur a dû faire appel à un expert judiciaire, ce qui entraîne des frais importants.
Mon conseil : s’adresser à un avocat spécialisé pour qu’il négocie à l’amiable la baisse cette indemnité définie par l’article L 145-14 du code du commerce, mais vague au niveau de son évaluation.
.
QUE RETENIR ?
« En fin de bail commercial, l’éviction du locataire – en l’occurrence l’exploitant de la résidence – est possible moyennant le versement d’une indemnité d’éviction (cas des dossiers Appart City, Belambra ou Odalys) à moins que le congé ne soit donné par l’exploitant lui-même. Son montant doit en principe couvrir tous les frais et coûts nécessaires à l’installation de l’exploitant dans une autre résidence : frais de déménagement, de structuration, frais d’acquisition d’un nouveau fond de commerce etc. » m’explique. Me David Sabatier, avocat spécialisé en baux commerciaux à Paris.
Vos derniers commentaires