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RESIDENCES DE TOURISME : QUELLE RENTREE ?

LA SITUATION DES INVESTISSEURS PRIVES VARIE SELON LES EXPLOITANTS DE RESIDENCES DE TOURISME :, LES LOYERS PEUVENT ETRE VERSES, SUSPENDUS OU REPORTES.

 

Une fois les vacances d’été terminées, l’heure est au bilan pour les professionnels du tourisme durant cette période si particulière. A la mer et même à la montagne, ils ont fait une belle saison. Par exemple Marseille a enregistré une fréquentation en hausse de 30%. Pas de doute, les résidences gérées destinées aux vacanciers ont pu tirer leur épingle du jeu. En revanche la situation peut être plus compliquée pour celles tournées vers le tourisme d’affaires. Encore qu’avec la fermeture de quelques hôtels dans leur secteur, certaines ont accueilli nombre d’actifs en déplacement professionnel.

 

L’impact de cet environnement sur les investisseurs privés varie en fonction de la politique de communication et du mode de répartition des loyers des exploitants . A notre connaissance seule la société ApartCity procède à la mutualisation de ses loyers.  Les recettes de toutes les résidences sont donc reversées, après déduction des frais, aux propriétaires de murs. Afin de répartir les risques locatifs,  les SCPI (sociétés civiles de placement immobilier) pratiquent depuis leur création, cette gestion mutualisée.

Chez Appart City, les investisseurs devront patienter quelques mois afin de connaître leur sort. « Depuis le 24 juin 2020, un conciliateur a été nommé par le Tribunal de Commerce chez Appart City. Le conciliateur dispose d’au moins trois mois pour faire des propositions aux bailleurs » commente un proche du dossier.

 

GESTION NON MUTUALISEE

 

En revanche, les autres exploitants effectuent une gestion locative résidence par résidence. A ce jour, des gestionnaires comme Belambra, Artès Tourisme, Nexity Studéa et Garden City restent vertueux en réglant la totalité des loyers aux bailleurs.

D’autres exploitants ont déjà obtenu ou sont en cours d’accord pour un « partage équitable » des pertes. Cette négociation passe généralement par le biais de l’association des propriétaires de la résidence. François Bouché, directeur général du groupe Lagrange m’explique : « une des clauses de nos baux prévoit la suspension des loyers en cas d’entrave administrative à l’ouverture de nos résidences, clause que nous appliquons pour la période du 14 mars au 2 juin 2020. Dès le 30 mars, nous avions communiqué avec les propriétaires pour leur expliquer cette situation en indiquant que nous reviendrions vers eux dès que nous aurions un peu de visibilité. Le 16 juin, soit quelques jours après les annonces gouvernementales de fin de confinement, les propriétaires ont reçu un nouveau courrier leur précisant les modalités de traitement de leurs loyers durant cette crise sans précédent : reprise du paiement des loyers à 100% dès le 2 juin, clause d’ajustement proportionnelle au chiffre d’affaires au terme de la saison été ou hiver en fonction des résidences, clause de retour à meilleure fortune en 2021 » .

 

MORATOIRE OU/ET ABANDON

Détenue conjointement par le groupe Accor et Pierre et Vacances, l’exploitant de résidences d’affaires Adagio, a « supprimé » les

loyers du 21 mars au 13 juin, dates de fermeture des résidences. Avec une possibilité de récupérer jusqu’à 50% de cette perte sur les 2 années suivantes, en cas d’augmentation du chiffre d’affaires par rapport à 2019.

En moyenne, Zénitude demande à ses bailleurs 3 mois de franchise, sans préciser s’il s’agit d’une annulation ou d’un report. De son coté, Estudines du groupe Réside Etudes, a suspendu le versement des 3 mois de loyers au titre du second trimestre et devrait communiquer sur un échéancier des loyers.

Le groupe Pierre et Vacances n’aurait pas réglé les loyers entre le 14 mars et le 11 juillet, soit 4 mois de suspension. Les impayés de loyers atteindraient même 6 mois chez Résidhome du groupe Réside Etudes.

 

Mon précédent billet de blog a suscité de nombreux commentaires. N’hésitez pas à réagir de manière concise sur ce billet.

 

Belle rentrée et bon courage à vous.

 

 

 


35 commentaires on “RESIDENCES DE TOURISME : QUELLE RENTREE ?”

  1. madeleinequentin dit :

    Pour le groupe Lagrange, Monsieur Bouche ne dit pas tout :
    – il décide seul. Une association de propriétaires s’est créée pour leur défense.
    – il ne veut pas communiquer aux propriétaires qui les demandent les comptes d’exploitation, au mépris de la loi.
    – la clause dont il parle peut-être considérée comme une clause Léonine. Aucune clause résolutoire dans le contrat de bail.
    – formule de révision des loyers en fin de saison avec EFFET RETROACTIF au 03 juin 2020, sujette à caution car il n’y a aucune transparence de Soderev-Lagrange sur sa gestion.

  2. Je confirme ce qui est écrit par madeleinequentin.
    Par ailleurs, monsieur Bouche oublie de dire que Lagrange a déjà obtenu en 2013 une baisse de plus de 50% des loyers, sans réduction des charges, ce qui correspond à une baisse de 64,46 % du revenu perçu réellement au propriétaire (avant remboursement des emprunts souscrits pour l’achat), ceci avant même la crise du Covid19 !

  3. Aramis Latulipe dit :

    Chez Appartcity, les investisseurs « défendus » par les 4 avocats qui ont accepté la conciliation se retrouveront avec ABANDONS DE LOYER. Après avoir vendu leurs mandats de grands négociateurs, ils ont d’abord parlé de 6 à 8 mois d’abandons de loyer. Lun d’eux annonce maintenant à ses clients 15 mois sans loyers? car la conciliation peut être prolongée.
    Quel talent de négociation !

    Le problème de fond, c’est que dans le tour de table de cette conciliation, personne ne défend les propriétaires. Pas même la Faprah qui ne communique que pour faire tomber le plus de résidences possible dans le piège de cette conciliation qui gèle toute possibilité d’agir en justice pour ceux qui y sont associés. La conciliation va donc pressuriser les propriétaires pendant plusieurs mois sans paiement (ou peanuts) jusqu’à ce qu’ils acceptent d’abandonner leurs loyers, à l’usure (étrange sentiment de déjà vécu avec exactement les mêmes acteurs).

    D’autres avocats et d’autres résidences refusent d’entrer dans cette conciliation qui ne peut être imposée et vont négocier directement et/ou s’adresser à la justice. Des jugements sont tombés et vont faire jurisprudence. Les locataires ont été sanctionnés :

    Cliquer pour accéder à communique_du_15_juillet_2020.pdf

    Les 4 « négociateurs » n’ont toujours obtenu aucun chiffre officiel et se permettent quand même de seriner à leurs clients que les abandons de loyers sont incontournables.

    Quel talent encore d’être capable d’affirmer cela sans avoir obtenu aucun chiffre !
    Pourtant, ils en ont un : les 33 Millions d’euros touchés fin juillet par Appartcity sous forme de PGE (sans parler des nombreuses autres aides financières du gouvernement).

    • cloudemery dit :

      Bonjour Aramis Latulipe
      Toutes vos informations sont précieuses.
      J’ai une question cependant : quels sont les noms des 4 négociateurs dont vous parlez ?
      Ce serait dommage de recourir à l’un d’entre eux pour notre résidence / exploitant (CGH résidences & spa) ?
      merci

  4. FABRICE CUVILLIER dit :

    Concernant les entreprises qui se disent en difficultés … au bord du gouffre
    parmi les solutions :
    Se séparer des fournisseurs trop couteux (voir tenter de négocier une baisse) pour tenter de retrouver moins cher sans s’assurer de la qualité ,voire demander un étalement des dépenses
    Augmentation du capital voire Ouverture de celui ci
    Baisser les salaires des dirigeants se séparer éventuellement de quelques uns!
    Supprimer les dividendes
    Suppression d’emploi
    Réduction des coûts !

    Dans le dossier A/C ce serait aux fournisseurs ( nous les bailleurs) de se faire Hara Kiri ?
    Pourquoi 4 avocats censés défendre les intérêts de leurs mandant agissent ils contre leurs intérêts ..à voir l’évolution de ce dossier on assiste à la surenchère ; qui des 4 ira le plus loin dans l’absurdité à moins qu’il n’aient des intérêts dans cette histoire !

    Si nous posons problèmes alors il reste la solution négociation avec la résidence sinon sortir la résidence du champs de leur gestion !

    J’attend avec impatience un message annonçant qu’une collaboratrice (ayant fait échouer A/C) soit licenciée, que les directeurs réduisent leurs salaire de 30% et suppression de toutes leur primes pendant 2 ans … J’attend de voir une réduction des frais de sièges de 15% et l’annonce d’un moratoire concernant l’investissement dans le haut de gamme en Suisse par exemple //// Mais là je rêve …. En attendant j’appelle tous les propriétaires à se séparer de leurs avocats plaidant la perte de 6 mois de loyers ….
    Car avec A/C il n’y a aucune contrepartie de type gagnant gagnant C’est comme pour le CICE l’entreprise reçoit et verse en dividende !

  5. Réponse à Aramis Latulipe qui a écrit le 05/09 dans la rubrique : Loyers où en sommes nous?

    Pour répondre à Aramis Latulipe, je dirais que je suis partiellement d’accord avec lui.
    Pour le respect de déontologie du métier d’avocat, on a effectivement un gros problème.

    Non seulement la crise de 2015 avec Appart’City a permis à certains d’entre eux de s’enrichir sur le dos de propriétaires complétement désemparés, j’ai les noms, mais la négociation du plan de sortie la crise 2015 s’est faite sans que Me Ph Pechayre qui a conduit la manœuvre, demande l’avis à qui que ce soit.
    J’ai mis en relation Ph Pechayre avec Me Ayoun et ils ont formé ensuite le groupe des 4 avocats afin d’obtenir la masse critique pour forcer Appart’City à se mettre autour d’une table pour négocier.
    Ph Pechayre a alors repris sa casquette d’avocat intervenant dans des sociétés en difficulté (ce qui est sa spécialité et pas plus) et a pris les manettes de la négociation avec Appart’City, sans en avoir été mandaté pour négocier des baisses de loyers définitives.
    Effectivement, lorsque l’on a été avocat toutes sa vie, jouer avec l’argent des autres est toujours plus facile et se prendre pour le patron doit satisfaire certains egos.
    Cependant, sans cette action d’arriver à mettre AC autour d’une table, je ne suis pas convaincu qu’Appart’City, imbu de sa supériorité vis-à-vis des propriétaires et n’ayant jamais compris qu’ils ne sont que des locataires comme les autres, aurait repris ses paiements de sitôt.
    Pour ma résidence avec des grosses difficultés, j’ai juste obtenu que les baisses de loyers ne soient que temporaires !
    Je pense que lorsque l’on signe un bail commercial après avoir fait un investissement immobilier dans une résidence hôtelière, c’est pour obtenir une certaine rentabilité et que des locataires, je veux dire les exploitants des résidences hôtelières, imaginent obtenir des baisses de loyers après coup, sur une mode lancée en son temps par le Groupe Pierre & Vacances, est une mauvaise habitude qu’il va falloir qu’ils perdent.
    A titre exceptionnel, je veux bien entendre parler de décalage partiel de paiements de loyer en cas de problème important chez le locataire, cela peut arriver et on le voit avec la Covid-19, mais la notion de franchise de loyers décrétée unilatéralement par le locataire ou de baisse de loyers définitive par rapport au loyer de départ, doit leur sortir vite fait de leur mode de raisonnement s’ils veulent maintenir le système de résidence avec des propriétaires qui prennent en charge l’investissent de la partie immobilière. Sinon qui va vouloir investir dans un tel système?

    Pour finir sur le respect de la déontologie du métier d’avocat, le harcèlement encours directement, auprès des propriétaires, par certains avocats, afin d’obtenir des mandats est un scandale !

    Au sujet des retards de paiements, malheureusement, il n’y a pas qu’Appart’City dans ce cas :

    Réside Etudes ne paie plus depuis fin mars, en revanche ils continuent d’investir dans de nouvelles résidences en jouant avec l’argent des loyers non payés, pour cela !!
    Chateauform fait aussi partie des petits locataires qui ont décrété unilatéralement une franchise de loyers de plusieurs mois sans en avoir discuté au préalable avec les propriétaires. En procédant de la sorte, je pense qu’ils vont pouvoir s’assoir sur leur projet de franchise, définitivement ! La justice et le gouvernement sont contre eux ! Un loyer est fait pour être payé car pourquoi ne pas squatter les résidences hôtelières tant que l’on y est, c’est la mode actuellement de squatter les habitations !

    Pour revenir à Appart’City, la conciliation demandée certainement par l’actionnaire Canadien le Groupe Brookfield, est un piège pour les propriétaires.
    C’est une décision de justice du tribunal de commerce de Montpellier et l’ordonnance N°2020-596 du 20 mai 2020 doit s’appliquer logiquement à toutes les résidences. J’ai fait la demande aux conciliateurs afin dans avoir confirmation et on va voir leur réponse !!
    Il faudra attendre quelques mois de plus pour assigner en justice Appart’City pour obtenir nos loyers, c’est tout
    Là, il sera peut-être nécessaire de choisir un avocat mais on en reparlera, c’est trop tôt.

  6. cloudemery dit :

    Bonjour,
    CGH Résidences & Spa, volontairement invisible dans les médias, ne déroge pas à la situation.
    Pour notre résidence, les loyers sont verséd tous les semestres.
    CGH n’a manifestement pas l’intention de payer le loyer dû pour la période du 01/02 au 31/07.
    Nous avons reçu par mail un avenant au bail commercial relatif au paiement du loyer pendant la période de confinement.
    Le courrier d’accompagnement signé par le président de CGH Yannick Davière annonce une perte de 20% de chiffre d’affaires, perte impossible à vérifier puisque là aussi – même remarque que madeleine quentin, les comptes annuels ne sont pas communiqués.
    Cet avenant propose un report partiel du loyer 2020 avec une soi-disante « généreuse » majoration de 25% sur 2021 et 2022 + 1 semaine d’occupation supplémentaire en basse saison, le tout assorti d’une renonciation à toute revendication ultérieure et d’une clause permettant à CGH de ne pas payer de loyers en cas de situation identique au Covid-19.
    Après calcul, les propriétaires perdent en fait 17% de leur loyer, sans compter le risque de ne rien toucher dans les prochaines années.

    • Goujon dit :

      Pour cgh, il faut se regrouper au travers de votre association de propriétaires
      Le cabinet gobert avocat à Marseille, a déjà des très nombreux mandats de propriétaires pour entamer des actions
      Seule une action de groupe sera payante

    • cloudemery dit :

      Bonjour,
      c’est fait, nous ne sommes pas restés isolés.
      L’important est que CGH résidences & spa ne reste pas sous les radars…

  7. franceinvestissement dit :

    Groupe CERISE EXHORE,
    Pour notre résidence de Nantes, il y a toujours impayé chronique qui s’aggrave de jour en jour. Aucune perspective concrète de négociations. Nous sommes contraints d’utiliser toutes les voies judiciaires en notre possession.Le dossier est maintenant entres les mains de la justice,ce qui ne fait qu’augmenter la dette, et l’alourdit des frais d’avocats et d’huissier.

  8. Nico Chalayer dit :

    Chez Mer Et Golf City, aucun paiement de loyers sur le second trimestre 2020. Nous avons été prévenus par un simple mail. Depuis, aucune discussion et aucune négociation avec les propriétaires et la directrice Madame Corine Baras. C’est tout simplement une honte de la part d’un groupe qui réalise plusieurs millions de chiffre d’affaires.

  9. Concernant Appart’City, la conciliatrice, Madame Fort vient de répondre le 13 09 2020:

    Toutes les résidences exploitées par Appart’City sont concernées par la conciliation obtenue auprès du tribunal de commerce de Montpellier.

    Avec la nouvelle ordonnance du 20 mai 2020, les propriétaires qui refusent la conciliation vont de facto perdent leurs loyers pendant des mois.
    Je recommande donc de participer à la conciliation pour le moment et de suivre les discussions entre les représentants des bailleurs, désignés par le locataire délinquant, on croit rêver, et Appart’City.

    • SB dit :

      « Avec la nouvelle ordonnance du 20 mai 2020, les propriétaires qui refusent la conciliation vont de facto perdent leurs loyers pendant des mois »
      ??????
      Il n’y a que ceux qui abandonneront leurs loyers qui vont les perdre.
      Et il est bien clair maintenant que les participants à la conciliation (enfin, ceux qui s’expriment, toujours les mêmes) ont pour but de faire perdre définitivement 6 mois de loyers à ceux qui sont dedans et/ou qui suivront le créateur et dirigeant de SOFIBA et ses amis membres fondateurs ou fidèles suiveurs. Et c’est pourquoi ça drague pour capturer un maximum de propriétaires.
      Il semblerait que certains clients du grand gourou commencent à ouvrir les yeux et ont compris que le gagnant de la fumeuse SOFIBA ne peut être que son fondateur.
      Mieux vaut tard que jamais…

      Attention aux comm des participants qui s’expriment. Ils sont peu nombreux et leur analyse n’est pas partagée par la plupart comme ils l’affirment et notamment par ceux qui ne s’expriment pas.
      Certains participants qui communiquent largement auprès de propriétaires non associés à la conciliation ne sont même pas mandatés par des propriétaires (de quel droit participent -ils et communiquent-ils ?) , ils ne sont pas avocats, mandatés par personne et se permettent de communiquer largement leur compte rendu de la réunion de conciliation ( du 18 septembre) alors que le contenu d’une (vraie) conciliation est légalement confidentiel.

      C’est le cas par exemple d’une société participante (de quel droit ?) qui a envoyé un compte rendu de la réunion du 18 septembre (bien orienté sur la défense des intérêts d’AC) et une belle explication de la SOFIBA à tout son fichier clients (alors qu’ils sont clients seulement pour élaborer leurs déclarations fiscales, n’ont rien demandé à cette société et ont leur propre avocat qui ne partage nullement l’idée) !!!
      Pourquoi ? Tout s’explique quand on creuse : c’est une société dont le dirigeant est très proche de l’avocat du SNRT (syndicat national des résidences de tourisme) dont le vice président n’est autre que Mr Sabatino.
      Merci les copains d’aider à rameuter des nouveaux propriétaires dans la conciliation en envoyant des compte rendu pour leur faire peur et leur faire croire que la SOFIBA est une solution, alors que c’est légalement interdit de communiquer sur le contenu des échanges dans le cadre d’une conciliation.
      Idem pour la Faprah qui participe à la conciliation (de quel droit ?) alors que ses statuts ne lui confère aucun mandat pour représenter ses adhérents et qui communique largement y compris à ses non-adhérents alors que c’est illégal (confidentialité), en tenant un discours pour faire peur aux propriétaires non impliqués dans la conciliation et en essayant de leur vendre les services d’un avocat pro abandon.
      Tout est bon pour rameuter à la cause des abandons de loyer…

      Si certaines résidences utilisent la liste envoyée par les conciliateurs pour trouver un avocat, il serait prudent de prendre le temps de bien se renseigner sur la position de chacun sur le dossier avant de faire un choix… Non seulement il y a ceux dont on connait les résultats de 2016, mais il y en a aussi un dans la liste qui défend les exploitants (SNRT), un autre qui défend l’actionnaire et il y a de multiples participants qui ne sont même pas avocats ni habilités à représenter quiconque. Il faut aussi savoir que plusieurs avocats dans la liste n’ont jamais participé à la conciliation et ont agi en dehors jusqu’à présent.

      Bon courage à tous.

  10. Stephane D dit :

    Je vois que j’ai beaucoup de chance… je suis copropriétaire chez Terres de France, dans la résidence de Prayssac dans le Lot (ex Odalys). A ce jour nos loyers 2020 ont été entièrement payés et aucune franchise de loyers n’a été demandée suite au confinement.
    Je ne sais pas par contre comment cela se passe dans les autres résidences du groupe, mais j’imagine qu’il y a eu un dialogue constructif.
    En espérant que cela dure !

    • SB dit :

      Comme quoi, contrairement à ce que scandent certains, il existe des bons gestionnaires qui méritent qu’on s’y intéresse. D’ailleurs, celui-ci n’a pas fait du tout le même choix stratégique qu’Appartcity : il n’a pas fermé les 2/3 de ses résidences à la réservation pendant tout l’été mais s’est au contraire démené pour les remplir.
      Chacun sa spécialité : l’exploitation de résidences pour l’un, l’exploitation des propriétaires pour l’autre.

    • mdenoune dit :

      Bonsoir
      Quel exploitant n’a pas fermé les 2/3 de ses résidences à la réservation pendant tout l’été mais s’est au contraire démené pour les remplir?

  11. Terryn eric dit :

    Concernant Pierre et Vacances, il est amusant (?) de constater que le traitement diffère selon que la périodicité de règlement des loyers.
    ° Si les loyers sont payés trimestriellement, une franchise de 4 mois est imposée aux investisseurs;
    ° Si les loyers sont payés annuellement, il n’y a pas d’impact Covid!.

  12. Terryn eric dit :

    Pour APPART CITY, nous en sommes à 6 mois de retard…..Cela sent le dépôt de bilan!

  13. Effectivement SB, les propriétaires qui s’excluent de la conciliation ne vont peut-être par perdre leurs loyers complètement mais les retards de loyers payés sur 8 ou 10 ans, cela ne sera pas l’euphorie quand même.
    La conciliation avec Appart’City a effectivement commencé et l’article L611-15 du code du commerce impose la confidentialité à ses participants.
    Je ne suis pas participant, ni représenté.

    Si l’actionnaire majoritaire d’Appart’City, la société Brookfield se mettait dans la tête de faire payer aux propriétaires des résidences exploitées par AC, l’impact de la Covid -19, ce qui n’est qu’une hypothèse de travail, la majorité des invités à cette conciliation auront en tête que les loyers sont faits pour être payés et que les propriétaires n’ayant jamais partagé les bénéfices d’AC, ils refuseront de partager d’éventuelles difficultés passagères. C’est juste le boulot de l’actionnaire de faire ce qu’il faut pour rallonger la sauce, si nécessaire, après le PGE reçu déjà par Appart’City.
    On ne peut pas renflouer Appart’City tous les deux ans. Les mauvaises habitudes cela se prend vite !!! Attention !
    Dans leur grande bonté, pour aider leur locataire dans le besoin, qui a mal géré la réouverture de ses résidences après la fin du confinement et qui a des frais de siège complétement anormaux par rapport à leurs confrères sur la même activité, alors, les propriétaires feront peut-être un geste noble et abandonneront 2 mois de loyers, s’ils sont de bonne humeur, mais pas plus.
    En regardant sur internet, on peut voir que Brookfield n’est pas dans le besoin.
    Donc, tout ira bien pour Appart’City et les propriétaires pourront à nouveau toucher leurs loyers très rapidement.

  14. Terryn Eric dit :

    Malheureusement, les bailleurs ne sont pas habitués à des bras de fer, ils vivent dans la crainte du «  cela pourrait être plus pire » et s’en remettent au premier gourou venu surtout si ce dernier s’autoproclame le meilleur d’entre les meilleurs.

    Les conseilleurs sont rarement les payeurs.

    Nous venons de chasser, il y a deux ans, le gestionnaire d’une résidence étudiante qui voulait nous imposer des baisses de loyer de 15%.

    Ayant repris la gestion de ce bien en direct, j’ai vu sa rentabilité nette augmentée de 80%, pourtant en ayant eu des vacances entre deux locataires.

    L’immobilier doit rester un produit simple géré directement sans passer par des investisseurs canadiens ou autres qui viennent faire des coups en pressant un maximum les faibles que nous sommes.

    • cloudemery dit :

      Bonjour,
      Comment avez-vous chassé le gestionnaire de votre résidence ?
      Dans notre résidence CGH résidences & spa, l’idée de l’autogestion séduit doucement.
      Si il vous est possible de partager votre retour expérience, ce serait très enrichissant.

    • Terryn Eric dit :

      Pour ne pas payer des indemnités d’éviction, il faut que le gestionnaire vous ait donné congé ( Dans notre cas, ils ont donné congé et proposé un nouveau bail avec baisse de 15%).
      La majorité des bailleurs a signé un nouveau bail avec un nouveau gestionnaire aux anciennes conditions, nous sommes moins de 10% à gérer en direct depuis sans problème, au contraire les bailleurs directs proposent des prix inférieurs à ceux proposés par le gestionnaire et nous ne prenons pas de frais de dossier…

  15. Appart’City – Conciliation

    Ce qui devait arriver, arriva !
    Les faits sont têtus, comme disait mon ancien patron !

    Depuis le début de la conciliation Appart’City, j’ai dénoncé auprès des 2 conciliateurs et auprès du président du tribunal de commerce de Montpellier, mails et fax comme preuves, que la représentation des propriétaires choisie par le patron d’Appart’City, F Sabatino, n’avait pas été faite de façon honnête et conforme à la loi.
    On m’a expliqué que « la direction en avait décidé ainsi » !!
    La direction, il fallait comprendre la direction d’AC !
    Comme si c’était au locataire de décider, avec quels propriétaires, il allait parler de ses retards de paiement de loyer. A quoi servent alors les conciliateurs, on peut se poser la question ?

    Effectivement, AC s’est mis dans la tête qui ne paierait pas ses dettes à savoir les loyers restés impayés depuis le mois de mars.
    Au sens de la loi, il est devenu un simple squatter.

    La meilleure solution qu’il a choisie pour arriver à ses fins, est de faire rentrer pour la conciliation, dans les représentants des propriétaires, un maximum d’avocats à sa solde.
    Il a même fait plus fort, L’ADIP, une association moribonde avant le Covid, est représentée par deux personnes, par son président et par Maitre Pechayre. Donc deux personnes pour la même association pour participer aux réunions de conciliation, alors que les présidents d’association de propriétaires de résidences exploitées par AC ne sont pas invités. Et pourquoi pas ????

    Le patron d’AC a réussi avec cette manœuvre, à faire croire aux avocats de son actionnaire, le Groupe Brookfield, que Me Pechayre représentait 75% des propriétaires et que sa dernière invention, la SOFIBA, était la solution au problème pour ne pas payer les loyers en retard.

    Manque de chance pour les avocats de Brookfield, Me Pechayre ne représente que 1000 à 1500 propriétaires sur les 10 000 propriétaires de résidences exploitées par AC. Même pas 10% des propriétaires et tous les avocats contre lui !

    Le système de la SOFIBA, pour essayer de prendre le contrôle d’AC, n’a de sens que si le nombre de mois de loyer abandonnés par les propriétaires est important. C’est pour cela, qu’avant même que la négociation n’ait commencé, on annonçait qu’il abandonnait déjà 6 mois de loyers ! et certains propriétaires ont payé pour cela !!!!

    Petit Rappel:
    Les loyers sont faits pour être payés, les exploitants de résidences hôtelières vont devoir se mettre cela dans la tête, s’ils ne veulent pas disparaitre.

    • Terryn Eric dit :

      Comment peut-on démarrer une négociation en acceptant d’emblée un abandon de six mois de loyer?

      Pour Appart Cty, les six mois sont acquis….On peut commencer les négociations!

      C’est lamentable de la part d’un avocat se targuant de défendre les pauvres propriétaires!

      Il est légitime de se demander pour qui, réellement, travaille ce « défenseur »?

      Extrait d’un article de Maximoff Isabelle, journaliste spécialisée:

      « Les investisseurs particuliers de M…. seraient par ailleurs en passe de se faire arnaquer de nouveau. En effet, un avocat s’est autoproclamé représentant d’une partie d’entre eux. P….. P……. aurait des mandats de certaines victimes de cette pyramide. Il en joue et s’est d’ailleurs vanté maladroitement devant témoins d’être celui qui décidera qui des candidats va l’emporter, prenant ainsi une drôle d’ascendance sur les juges du tribunal de commerce de Marseille qui apprécieront. Probablement payé par des investisseurs particuliers, cet avocat visiblement peu au fait des règles de sa profession rejointe après 30 ans dans le business, a décidé de présenter seulement une partie des candidats à ses clients. Il a ainsi enfreint la loi qui prévoit l’égalité de traitement des candidats et la transparence qui est imposée dans de telle procédures. A Marseille, au tribunal, certains parlent de trafic d’influence ou de nouvelle escroquerie. Les réunions de P…. P…… se déroulent en effet à l’hôtel C…… où O…. C…. a ses habitudes. Si, comme le prétendent certains candidats, P….. P….. avait un accord avec certains candidats, il toucherait donc des deux côtés. Dès lors les petits investisseurs se ferait rouler dans la farine une deuxième fois….

      En savoir plus eco-mag.com/scandale-maranatha-passe-detre-solde/ © EcoMag

      L’histoire se répète?

  16. Christian Bruillon dit :

    Propriétaire d’un studio dans la résidence de tourisme à Cauterêt ( Pyrénées) géré par Garden City, je suis heureux d’apprendre que notre gestionnaire est le plus vertueux en ayant réglé la totalité de nos loyers .

    En réalité, rien n’a été versé, cela fait 6 mois que nous attendons un premier versement

  17. Terryn eric dit :

    Bonsoir Madame Denoune:

    Ceci n’est pas un commentaire de plus.

    un peu de lecture sur les projets de P Pechayre, mais j’y comprends rien

    http://WWW.SOFIBA.NET

    Bonne lecture

  18. On va parler un peu de Réside Études pour changer.

    Le dernier courrier de Réside Études, daté du 21 juillet 2020 et signé par le Directeur Général Adjoint Robert Vergés, annonçait une nouvelle communication début octobre. Nous arrivons à mi octobre et toujours pas de communication. Au moins certaines résidences d’affaires ne sont toujours pas payées et non surtout pas d’échéancier ce qui est la moindre des choses lorsque l’on est locataire.

    Sera t-il étonnant que la majorité des propriétaires signent un mandat à un avocat pour les défendre?
    Réside Études, malgré tous les messages passés, continue sa communication de M…de et ne réagit pas!

    D’un Groupe  » Très Respectable », ils sont passés à  » Groupe à Éviter  » !
    Un peu lamentable cette histoire.

  19. Terryn eric dit :

    Des têtes tombent chez Appart City….Motif: trop de complaisance pour les bailleurs?

  20. Dominique T dit :

    Bonjour,
    Residhome (groupe Residetudes) MONCEAU à Bois-Colombes, pas de loyer perçu sur T2 et T3 2020. Pas de visibilité donnée sur la reprise des paiements.
    Pourtant lorsque l’on essaye de réserver dans cette résidence Affaire/Tourisme, via les nombreux sites de booking qui la proposent, impossible de réserver quoi que ce soit à court-terme. C’est plein.
    Bien à vous

  21. Appart’City suite – Deuxième réunion de Conciliation et exigences d’Appart’City

    Après la deuxième réunion de conciliation , Appart’City et les avocats de son actionnaire, le Groupe Brookfiel se montrent sous leur vrai jour.

    Voici la réponse de l’association des propriétaires de la résidence Le Romarin que nous faisons à Appart’City et à son nouveau chef de projet de gestion de crise, je veux parler du retour de Th Rochet aux manettes Th. Rochet qui était déjà intervenu lors de la crise de 2015 et que nous savons prêt à tout pour remplir sa mission.
    Nous encourageons les autres résidences à se montrer forte face à ce locataire qui ne paie pas ses loyers.

    L’association des Propriétaires de la résidence le Romarin, que je représente,
    ne négocie pas avec un maître chanteur.
    Un loyer est fait pour être payé. Un point c’est tout.
    Nous avons un bail signé par les deux parties et on doit appliquer le bail.
    C’est aussi simple que cela.

    Dans la vie courante, si un de mes locataires a des difficultés à payer son loyer,
    je suis toujours prêt à discuter d’un échéancier de paiement raisonnable avec lui.
    Pour mon locataire au Romarin, il sera traité de la même façon. Ni plus, ni moins !

    Dans notre grande mansuétude, malgré le fait que nous avons déjà contribué à renflouer Appart’City en abandonnant des loyers pour la crise 2015 et malgré le fait qu’Appart’City a dilapidé tout l’argent qui est rentré dans ses caisses par mauvaise gestion ou malversations financières, nous confirmons que nous sommes toujours prêts à abandonner 3 mois de loyers pour les aider. Mais cela sera pour la dernière fois et cela ne sera pas plus.

  22. Terryn eric dit :

    Contrairement à ce que je pensais et dis…..

    Pierre et Vacances vient de m’envoyer un avoir Covid sur les loyers annuels…

    TROIS MOIS DE PRIVATION DE LOYER

    Alors qu’ils ont fait un très bon été.

    Comme dirait Audiard, les malhonnêtes osent tout , c’est à cela qu’on les reconnait!

  23. RÉSIDE ÉTUDES
    A tous,
    Sans vouloir vexer personne, Je pense qu’une stratégie nationale pour contrer Réside Études n’a pas de sens pour les raisons suivantes :

    Réside Études a raté la possibilité de partir en conciliation suivant l’ordonnance du gouvernement datée du 20 mai 2020 qui est hyper contraignante pour les propriétaires. ( En tapant « ordonnance du 20 mai 2020 » sur Google vous aurez accès à cette ordonnance)
    Il y avait un délai pour le faire et Réside Études a passé le délai. Donc on gagne ce point-là.Cela veut dire que Réside Études vise maintenant le redressement judiciaire.

    Réside Études va donc attendre certainement le début de l’année prochaine (janvier févier ou mars) pour le faire en accumulant le maximum de mois de loyers non payés, afin que ces mois de loyers soient effacés définitivement par le redressement judiciaire. Il faut donc assigner en urgence au tribunal en référé si possible pour obtenir les paiements des loyers et ce autant de fois qu’il le faudra.

    Le problème :
    C’est la compétence territoriale qui s’impose. Aussi la localisation de l’immeuble (lieu de la résidence hôtelière) détermine le tribunal où il faut assigner. L’avocat choisi va être obligé de faire le tour de France pour plaider dans chaque tribunal dont dépend la résidence. Donc, dès qu’une résidence a choisi un avocat et a rassemblé le minimum de propriétaires désirant assigner, il faut assigner en urgence. LE TEMPS JOUE CONTRE NOUS

    Si on vous vend une stratégie nationale, il va falloir attendre d’avoir rassemblé des centaines et des centaines de propriétaires en France venant de différentes résidences Résides Études. Des propriétaires qui ne vont pas tous comprendre la même chose, à qui il va falloir expliquer et réexpliquer.

    Le temps va passer. Cela va prendre des semaines et des semaines voir des mois.Il faudra à la fin, plaider dans chaque tribunal dont dépend chaque résidence.Donc l’avocat va être obligé de faire le tour de France.

    Dernier point : Les avocats qui ne sont pas capables d’annoncer dès le début à leurs clients, qu’ils vont rétrocéder les sommes récupérées grâce à l’article 700 que doit demander l’avocat à la fin de sa plaidoirie, peuvent être classés comme escrocs.

    Mes recommandations pour gérer ce type de sujet que je connais depuis 2015 :
    Prenez un avocat par résidence qui va assigner tout de suite sans vous expliquer qu’il va négocier avec Réside Études et qui va vous redonner les sommes gagnées avec l’article 700. Deux avocats ont décidé de travailler ensemble et se répartir les résidences. En me contactant par mail brunprr@aol.com, je vous transmettrai leurs coordonnées.

  24. Appart-City – La nouvelle tentative d’escroquerie a commencé –

    Message au CIRI, Groupe Interministériel de restructuration Industrielle.

    En tant que président de l’association des propriétaires de la résidence le Romarin à Lille la Madeleine, exploitée par Appart’City,
    je me suis déjà expliqué auprès de vous sur la situation dramatique que nous fait subir notre locataire, la société Appart’City en ne payant pas les loyers qui nous sont dus.
    Nous sommes déjà à la deuxième crise de loyer en quelques années avec cet exploitant.
    Il y a deux crises de trop.

    J’ai déjà expliqué que nous sommes les bailleurs d’Appart’City et que nous n’avons rien à voir avec l’activité de cette société, que nous ne touchons pas les bénéfices d’Appart’City et donc que nous ne sommes pas tenus à contribuer à la résolution de ses problèmes financiers.

    Si vous êtes locataire de votre maison ou de votre appartement, vous n’allez pas aller voir votre bailleur pour lui expliquer que vous n’allez pas payer votre loyer en cas de problèmes financiers passagers pouvant arriver à tout le monde.
    Vous allez le voir, plus tôt en essayant d’être gentil, pour négocier un échéancier de paiement.
    Vous n’avez pas d’autre choix ou alors celui de quitter votre location.
    Avec Appart’City, c’est la même démarche, mais pas plus.

    Les propriétaires bailleurs des résidences hôtelières ne sont ni salariés, ni membres et encore moins actionnaires du Bazar de La Charité !!!

    Donc en laissant Appart’City continuer avec le plan qu’il souhaite voir accepté de grès ou de force par la majorité des propriétaires, vous vous rendez complice de ce que l’on peut appeler une escroquerie supplémentaire avec celle de la baisse des loyers qu’ils ont déjà obtenue avec la complaisance de certains avocats.
    Si le CIRI soutient le plan d’Appart’City en le calquant pour la dette sociale, c‘est l’argent des contribuables Français qui va être donné à l’actionnaire Canadien. Est-ce vraiment très logique ?

    Le principe de base pour un propriétaire bailleur est de ne pas négocier avec un maître chanteur surtout si c’est son locataire. Il le met dehors, c’est tout ! Je vous remercie par avance de l’aide que vous allez apporter aux propriétaires des résidences exploitées actuellement par Appart’City.

    Pierre Hyernard Président de l’association des Propriétaires de la résidence le Romarin