S’OFFRIR DES VINS A LA VENTE DES HOSPICES DE BEAUNE
Publié : octobre 16, 2021 Classé dans : Uncategorized | Tags: Maison Albert Bichot, Vente des Hospices de Beaune Commentaires fermés sur S’OFFRIR DES VINS A LA VENTE DES HOSPICES DE BEAUNELA MAISON ALBERT BICHOT DEMOCRATISE L’ACCES AUX ENCHERES A PARTIR D’UNE BOUTEILLE DE PRECIEUX NECTAR

C’est une tradition en Bourgogne. Le troisième dimanche de novembre, soit cette année le 21 novembre, se déroule la célèbre vente des Hospices de Beaune fréquentée par des grands acheteurs internationaux. Cette année la 161° vente des vins sera orchestrée par Sotheby’s France.
Depuis 12 ans, la maison de vins Albert Bichot démocratise l’accès aux enchères avec toujours l’achat à partir d’une bouteille parmi 5 vins sélectionnés.
En effet dès 2009, elle a révolutionné les enchères en créant son site internet dédié, qui permet aux particuliers de participer aux enchères des Hospices très simplement.
Sur ce site internet, vous pouvez acheter avant et jusqu’au jour des enchères :
- A partir d’une bouteille seulement parmi une sélection de 5 vins (2 blancs et 3 rouges entre 60 euros et 150 euros) avec la possibilité de personnaliser l’étiquette
- Un fût entier soit288 bouteilles de 75 cl parmi tout le catalogue portant sur 50 vins. Une solution idéale pour un groupe d’amateurs ou pour une entreprise. Issus de la récolte 2021, ces vins seront livrés à la rentrée 2023. Dans l’intervalle ils auront été élevés dans les caves de la Maison, entre 12 à 18 mois.
Bien que la liste précise des 5 vins sera dévoilée fin octobre, retenez que dans les appellations proposées figureront un Beaune, un Savigny, un Pommard, un Pouilly et un Meursault.
APPART CITY : LA COLERE DES EPARGNANTS
Publié : octobre 7, 2021 Classé dans : Uncategorized | Tags: Appart City, résidence de tourisme 1 commentaireSUITE A LA SORTIE DE LA PROCEDURE DE SAUVEGARDE D APPART CITY VOICI UN EXTRAIT DE VOS REACTIONS SUR MON BLOG

« La crise du Covid a souvent bon dos. Les adhérents du SNRT se donnent les recettes et les dupliquent…. Jusqu’à quand les politiques vont-ils fermer les yeux sur ces scandales ? Les PGE n’ont pas été utilisés pour leur destination d’origine, à savoir payer les fournisseurs que nous sommes pendant la crise. Détournés en toute impunité ?
Pour Appartcity, il paraitrait qu’ils ont servi à rembourser le prêt de la Deutsche Bank par anticipation (et donc des dettes antérieures au COVID) ce qui constitue un détournement d’argent public. ..
Que l’Etat ne vienne pas nous dire qu’il a fait son devoir en établissant une charte de bonnes pratiques pour les négociations de loyer Covid. Seuls les bailleurs respectent cette charte. En revanche, ni l’Etat, ni les gestionnaires ne la respectent.
C’est à se demander si le gouvernement n’est pas complice du sacrifice des bailleurs. Mieux vaut s’adresser à la justice en contournant les Tribunaux de Commerce et à la presse pour dénoncer massivement toutes ces pratiques illégales » signale cette révoltée.
Et de poursuivre : « 89% ? Certainement pas. 11% de refus express annoncés, 33% d’accords express annoncés et 56% de non répondants dont bon nombre qui n’ont pas du tout été consultés. Et des résultats de la consultation qui n’ont pas été communiqués aux contrôleurs de la procédure pour qu’ils puissent les vérifier comme il se doit.
Seuls les non répondants réellement consultés pouvaient être comptés comme des accords tacites. Les non répondants non consultés (auxquels le mandataire n’a pas envoyé le projet de plan) et donc exclus de la procédure devaient être comptés comme des refus. Mais les mandataires et le Tribunal ont anormalement décidé de les compter comme des accords tacites.
Des avocats ont fait domicilier des clients, à leur cabinet. Ces bailleurs ont juste reçu un courrier de leur avocat leur disant « qu’ils n’avaient rien à faire » car l’accord de soutien prévoyait « une ratification automatique » du plan. Les particuliers souhaitant choisir eux-mêmes leur réponse ont réclamé par LRAR adressée à leur avocat, leur courrier personnel et formulaire personnel de réponse. Sans le moindre retour de leur avocat, ils ont été privés de leur droit de choisir. D’où une ratification tacite forcée, par rétention de documents ».
Autre commentaire : « Je rebondis sur la partie où vous parlez d’Appart City. Cette société est un mauvais payeur chronique, dans notre résidence sur Nantes, Nous avons procédé à près de 40 commandements de payer en moins de 5 ans entre 2015 et 2019.
Avant la crise COVID, Appart City nous devait des loyers 2019, les taxes d’ordures ménagers sur plusieurs années pourtant réclamées à maintes reprises mais jamais payées, et bien sûr les frais afférents aux commandements de payer des 5 années.
La stratégie de non paiement des loyers est une habitude de ce gestionnaire et la crise COVID une superbe aubaine pour assainir ses comptes sur le dos des bailleurs et des contribuables sous couvert du COVID.
Malveillante, cette société a toujours considéré les bailleurs comme une variable d’ajustement de sa trésorerie. Son train de vie dispendieux était corrigé par les réductions de loyers obtenues par la violence économique et sa stratégie de reprise des paiements, uniquement si vous acceptez les abandons ou réduction de loyers. La seule solution a toujours été la contrainte judiciaire pour ceux ayant ont pu l’obtenir.
Le laxisme du gouvernement sur ce qui s’est passé a donné des idées aux autres gestionnaires qui ne voient plus pourquoi payer les bailleurs alors que d’autres ne sont pas obligés de le faire.
Les tribunaux judiciaires se laissent museler par le tribunal de commerce de Montpellier. Le plus étonnant : les politiques et la grande majorité des médias ne s’y intéressent pas.
Les propriétaires vont devoir réfléchir à une stratégie globale à l’encontre de cette société ».
Extrait du courrier adressé au Ministre de l’Economie : « La crise sanitaire est pour Appart City un élément supplémentaire mettant en exergue son incapacité patente à respecter ses engagements. D’ailleurs dès décembre 2019, le loyer était payé avec un mois de retard ! Les difficultés étaient donc à nouveau devant nous et, ce, avant même la crise sanitaire ! Cela n’a jamais non plus été rappelé !
Ce type de résidence était d’abord destiné aux étudiants – c’était le cas à …, et les gouvernements successifs (y compris celui de la période de cohabitation 1997- 2002) ont fait le choix d’un financement privé et non public. Je n’imagine pas que vous puissiez monsieur le Ministre être en désaccord avec ce choix, sauf à trouver que le taux des prélèvements obligatoires en France est encore insuffisant ! D’ailleurs, et sauf erreur de ma part, le financement privé perdure pour les résidences de services (notamment résidences étudiantes, EPHAD, ….)
….., ce type d’investissement représentait, pour la très grande majorité des acquéreurs, une opération d’épargne de précaution en vue de leur procurer des revenus complémentaires pour la retraite ….. Le terme d’investisseur et la défiscalisation mise systématiquement en avant par la société Appart’City et ceux qui la représentent sont mal venus.
Si nous sommes juridiquement propriétaires de nos biens, nous en sommes dans les faits dépossédés. Devant un preneur aussi peu respectueux et en définitive fort mauvais, la seule solution est la résiliation du bail. Résiliation qui entraîne la reprise par un autre preneur ou une gestion individuelle des studios, mais toujours avec les services, et qui dans les deux cas, préserve donc l’emploi au niveau local des personnels, personnels nécessaires vu la destination de ces immeubles.
Le bail commercial à l’origine était fait pour protéger le preneur qui tenait échoppe au rez-de – chaussée de l’immeuble, le rapport de force étant en faveur du bailleur, propriétaire de l’immeuble.
Le bail commercial protège toujours le preneur, mais ici le rapport de force est du côté du preneur. Vous semblez, Monsieur le Ministre, vous en accommoder or l’Etat a contribué à mettre en place ces résidences et leur financement ». Mon précédent billet.
QUEL SORT POUR LES BAILLEURS D’APPART CITY?
Publié : septembre 26, 2021 Classé dans : Uncategorized | Tags: Appart City, plan de sauvegarde 2 CommentairesLE JUGEMENT DU 14 SEPTEMBRE 2021 DU TRIBUNAL DE COMMERCE DISTINGUE DEUX TYPES DE BAILLEURS, SELON QU’ILS AIENT OU NON ACCEPTE LA CONCILIATION. EXPLICATIONS

Les 89% de bailleurs ont accepté le plan
Pour 2020 : abandon de 4 mois de loyer, report de 2 mois de loyer en 2024 et paiement de 3 mois d’arriérés de loyer, dans le mois suivant l’arrêté du plan de sauvegarde
Pour 2021, les bailleurs ont le choix entre percevoir un loyer fixe de 70% du montant du loyer initial ou loyer variable en fonction du CA. Une option personnelle à choisir en fonction de ses priorités, suite à la sortie de la procédure de sauvegarde.
Les 11% de bailleurs ayant refusé le plan,
D’après le jugement du 14 septembre 2021, ils seront remboursés des loyers 2020 et 2021 donc au moins jusqu’en 2031. Les loyers seront réglés à hauteur de 0,5% pour les 2 premières années, de 5% au titre des années 3 à 9 et à hauteur de 64% pour la dixième année.
Que retenir ? Le principe est que soit on accepte des abandons, soit on refuse. Dans ce dernier cas on est payé à 100% mais avec des délais que la loi dit pouvoir aller jusqu’à 10 ans et dans certains cas 12 ans. Et ce, pour respecter un principe d’égalité de traitement des créanciers. « Le jugement homologuant le plan de sauvegarde d’APPART CITY est relativement classique. Les bailleurs signataires aux termes d’une conciliation ont préféré un paiement rapide de leurs créances, après déduction abandon et report de loyers et des contreparties. Quant aux bailleurs non signataires, ils pourront – sous conditions – obtenir le paiement de leurs créances en 10 ans (dont 64% la dixième année). Mais pour cela, ils devront continuer à entreprendre de multiples procédures pendant une période assez longue, avec un aléa judiciaire, car ces créances seront contestées » commente Me Jacques Gobert, avocat à Marseille. Affaire à suivre
JEUNES, PRENEZ VOTRE RETRAITE EN MAIN
Publié : août 31, 2021 Classé dans : Uncategorized Commentaires fermés sur JEUNES, PRENEZ VOTRE RETRAITE EN MAINL’investissement en actions reste le meilleur moyen pour financer nos retraites selon un rapport de Marc Touati pour Trade Republic. Si elles ne font rien, les générations des années 90 et 2000 perdront près de 40% de pouvoir d’achat lors de leur retraite.

En France, la réforme du système de retraites est reportée depuis des décennies. Quel constat s’impose ? le financement du système de retraite par répartition consiste à financer les actuels retraités par les actifs d’aujourd’hui. Jusqu’au début des années 1970, on comptait plus de 3 actifs pour un retraité contre seulement 1,5 actif actuellement. En sans doute, 1,3 actif pour un retraité en 2050. Aussi le système de retraite par répartition à la française risque d’imploser, comme un système à la Madoff.
La nécessité de réformer la retraite française par répartition s’impose car nous vivons de plus en plus longtemps. Actuellement, la durée de vie moyenne à la retraite tourne autour de 23 ans, contre 2 ans dans les années 1950, 10 ans dans les années 1980 et 15 ans dans les années 1990. Selon le Conseil d’Orientation des Retraites (COR), la durée de vie à la retraite pourrait avoisiner les 30 ans pour la génération 2000, voire 33 ans en cas de mortalité basse.
Toujours selon le COR, la France consacre chaque année, plus de 330 milliards d’euros, soit environ 14 % de son PIB, au financement des retraites. En revanche, l’Allemagne n’y consacre que 10 % de son pays et les pays de l’OCDE seulement 7,5 %. Cette générosité à la française est d’autant plus couteuse que le nombre de retraités va s’accélérer dès 2035 : de 16,3 millions en 2019, leur nombre devrait dépasser la barre des 22 millions en 2050.
« Les Français peuvent sauver leurs retraites en soutenant le système par répartition avec une retraite par capitalisation qui permettra aux retraités de toucher les sommes épargnées pendant leur vie active d’un seul coup ou/et sous forme de rente » martèle Marc Touati président et chef économiste d’ ACDEFI (Aux commandes de l’épargne et de la finance) . Avec une différence de taille : les sommes investies dans une retraite par capitalisation appartiennent bel et bien aux retraités, ce qui n’est pas le cas de celles prélevées sur les salaires, puisqu’elles sont utilisées pour financer les actuels retraités.
Afin de maintenir votre pouvoir d’achat après avoir cessé son activité, mieux vaut prendre en main dès maintenant la préparation de votre retraite. Cela passe généralement par l’achat de sa résidence principale et la constitution de placements : assurance-vie et bourse. Justement la bourse a tendance à effrayer les néophytes.
Afin de démystifier leus peurs, le courtier en ligne d’origine allemande Trade Republic a demandé à ACDEFI d’étudier les solutions pour doper sa retraite. La bourse, l’or et les obligations sont les 3 meilleurs placements sur le long terme (c’est-à-dire sur au moins 8-10 ans) tant en termes de rentabilité que de fiabilité.
Même si des jeunes remboursent un prêt immobilier, ils ont intérêt à verser tous les mois quelques dizaines d’euros pour investir en direct en bourse. C’est la seule manière de lisser les performances. « Les deux tiers de moins de 35 ans sont ouverts à de nouveaux services d’investissement en entreprise plus transparents et accessibles » assure Matthias Baccino, Directeur France de Trade Republic. Avec son plan d’investissement programmé sans aucun frais de courtage à l’achat, ce courtier innove en France. Autre nouveauté : lors de la vente de titres via ce plan, il ne retient qu’un frais fixe limité à un euro. Ce courtier met aussi un coup de projecteur sur les ETF ou fonds négociés en Bourse. Et de citer, par exemple l’ ETF MSCI World sur un horizon d’investissement de 5 ans avec un versement programmé de 100 euros par mois, soit 6 000 euros in fine. Cela permet d’espérer un rendement annuel d’environ 4.5% net de frais. Mais en réalisant cet investissement avec des frais de gestion traditionnels ou dans un fonds de gestion assorti d’un rendement identique mais avec frais, la performance nette tombe à 1.97%!
Attention donc aux frais prélevés sur votre épargne en Bourse.

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